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Ma bonne résolution 2018 en lien avec une vie minimaliste

samedi 30 décembre 2017



A l'occasion de cette nouvelle année qui se profile, je voulais vous faire part de la seule résolution que j'ai décidé d'adopter. En réalité, il s'agit plutôt d'une prise de conscience globale, que j'ai eu il y a quelques temps. Si cet article est plus personnel, et pas directement littéraire, je glisserai peut-être certaines références qui me parlent dans ce cheminement. 

Avant d'expliquer de quoi il en retourne, je voudrais préciser que dans ma vie, j'essaie de faire des choix qui ne sont pas liés à des modes quelconques, même s'il est évident que nous sommes toujours influencés par tel ou tel élément extérieurs. Tout cela pour dire que cette démarche que je vais vous présenter m'est propre, et que je ne la pense pas mieux, ni moins bien qu'une autre. Je n'ai pas commencé ce processus dans ma vie parce que beaucoup le font. Juste parce que j'en avais besoin.

 A la vue du titre, et de l'expression "minimalisme", certains ont peut-être bondi, ou pris peur, imaginant qu'il s'agit d'un de ces courants de pensée où l'on croit que tout jeter et ne vivre qu'avec sa brosse à dents et un savon de Marseille est la solution - je plaisante bien entendu. Ma démarche n'est pas du tout aussi extrême, et part de plusieurs constats que j'ai faits.



Je ne suis pas riche (et je m'en moque)

Je suis, comme certains le savent peut-être, étudiante en Lettres Modernes. Et même si je travaille en parallèle, j'ai les moyens d'une étudiante, à ceci près que je vis avec mon conjoint, et qu'à deux, on est toujours un peu plus forts. Ce constat n'est pas là pour vous parler en détail de mon compte en banque, bien évidemment, mais plutôt pour en venir à mon propos principal. Depuis quelques mois je me sentais presque obligée pour avoir de la valeur d'un point de vu social, d'avoir plus de moyens que je n'en ai. J'étais complexée par ma garde robe - qui pourtant est suffisamment fournie - par les pulls que j'ai depuis des années déjà, et autres détails matériels un peu idiots. Je me suis aperçue que mon magasin de déco préféré me pousse à changer le moindre détail de mon salon à chaque saison, que mes chaussures achetées l'hiver dernier sont déjà dépassées. Bref, tout un tas de choses futiles, qui me rendaient presque malheureuse. En plus, bien souvent, j'étais prise de remords si je me mettais à acheter une de ces choses, car je ne suis pas non plus une consommatrice invétérée, et je voyais bien que cela ne me serait pas utile. Je pense avoir la chance d'être riche autrement. Des relations que j'ai dans ma vie, de ma famille, de valeurs...



Désencombrer pour mieux réfléchir


Avec les années, car ce n'était absolument pas le cas quand j'étais toute petite, je suis devenue quelqu'un de très organisé, et ordonné. Je déteste me trouver dans un environnement encombré, et je me sens plus à même de réfléchir si les choses autour de moi ont une place distincte, c'est comme ça. Cependant, on accumule toujours un peu, et je me suis aperçue, notamment grâce à un livre* que je gardais des choses qui ne me rendaient pas véritablement heureuse, juste comme ça, juste au cas où. J'ai donc procédé à un grand tri, qui a eu le bénéfice de me débarrasser des petites choses qui parasitaient mon environnement, mais également de rappeler à mon bon souvenir des livres, vêtements et autres oubliés. 



Des loisirs qui font vraiment plaisir

Après ce rangement, je me suis posée, et j'ai regardé ce qui avait été évacué : des vêtements encore une fois,  quelques produits et beaucoup de maquillage. C'est mon constat personnel, mais peut-être  / certainement que le vôtre serait différent. Et je me suis aperçue que c'étaient finalement des domaines qui m'avaient beaucoup intéressé pendant mon adolescence, et qui n'étaient plus ma principale envie - je suis coquette mais je préfère les pièces de qualité à la quantité. Et j'ai décidé de ne mettre mon budget loisir que dans des choses qui me font réellement plaisir : les livres, qui sont la seule chose que je collectionne en nombre, et les moments passés avec mon amoureux, au restaurant notamment. Car c'est ça qui me plaît, les moments de vie partagés. 



Des valeurs dont je veux faire le principal objet de ma vie

L'amour, les moments, la bienveillance, ce sont des valeurs qui me sont chères et que je veux voir prédominer dans ma vie, plus que la surconsommation et l'avis des autres. Bien entendu, c'est une résolution de plutôt longue haleine, mais ce ne sera pas difficile, car c'est comme ça que je me sens le mieux. 

* La Magie du Rangement de Marie Kondo, une japonaise qui a véritablement mis en place sa méthode pour désencombrer son intérieur et y voir plus clair dans sa vie. Inspirant et pas prise de tête. Je pourrai vous en faire une chronique plus poussée si cela vous intéresse.






Minimalism : un docu à regarder pour y réfléchir

J'ai découvert le documentaire Minimalism sur Netflix, qui parle de la surconsommation de masse. Ce qui est intéressant, c'est qu'il est centré sur les Etats-Unis, et qu'on peut constater à quel point leur façon de consommer est irrationnelle et dépasse la nôtre - qui est déjà conséquente - de très loin. De ce fait, ils n'ont pas la même conception du minimalisme : ils ont pour la plupart besoin d'une voiture pour se déplacer, et leurs "petits" appartements sont de coquets 70m². Mais il est intéressant de prendre conscience de tout cela, et d'écouter différentes personnes parler de leur retour à une vie plus simple. Evidemment, comme dans tout mode de vie, il y a des extrêmes, que je ne me vois pas atteindre. Je ne veux pas vivre avec un simple sac et quelques affaires. Simplement me détacher de toutes ces injonctions matérielles qui me pèsent. Serais-je vraiment meilleure avec trois blenders et deux machines à café différentes?

 J'ai expérimenté ce phénomène lorsque j'ai emménagé. J'avais envie de tout avoir, de ne "manquer de rien", et je me suis retrouvée avec une machine à thé dernier cri. J'ai utilisé les dosettes qui allaient avec, qui n'étaient pas si bonnes pour l'amatrice de thé que je suis... et puis je ne l'ai plus jamais remise en service. J'ai fini par la mettre en vente. 


Minimalisme ne signifie pas "plus rien", ça signifie : "mettre ses priorité là où on les veut vraiment". C'est à vous de voir où vous placez les vôtres pour que votre vie vous soit confortable. 


Unboxing Once Upon a Book dans la forêt de Grimm

jeudi 21 décembre 2017



Ce matin, à neuf heures tapantes, j'ai eu la bonne surprise de recevoir ma première Once Upon a Book, la box livresque que j'avais commandée pour le mois de décembre. Et je ne suis pas déçue, elle est incroyable. Pour ceux qui ne connaîtraient pas le concept, cette box est mensuelle, avec chaque fois un thème différent. Vous pouvez choisir la petite à partir de 12 euros (+ frais de ports), et la plus grande à partir de 20 euros. A cela vous pouvez ajouter l'option challenge à 7 euros, ou l'option un enfant ou deux, pour recevoir en plus des livres jeunesse. En plus de cela, c'est une petite entreprise française et tout est personnalisé, la box étant constituée d'un livre commun à tous, et d'une sélection basée sur vos goûts et préférences. Pour moi, tout a été respecté et je suis ravie. 

J'avais choisi une box avec l'option "deux enfants", alors que je n'en ai pas, mais vous savez que j'affectionne tout particulièrement les livres jeunesse et je voulais voir à quoi ressemblerait la sélection. Bien évidemment, si je m'abonne à l'avenir, je ne rajouterai pas cette option, c'était vraiment pour le test - quoi que. Le conditionnement de la box est super, les livres sont bien protégés, et étaient emballés dans un paquet cadeau. Tout de suite en ouvrant, on trouve des gourmandises - que j'avais choisies salées pour ma part - et du thé. J'ai donc un petit paquet de cacahuètes, et deux sachets de tchaï aux épices de la marque Ethiquable : bingo! J'adore! J'ai également eu une planche de stickers, de petits flocons dorés, qui peuvent agrémenter des cadeaux, ou toute autre déco de Noël. 


Entrons dans le vif du sujet : le thème du mois. Une petite carte imprimée nous rappelle qu'il s'agit de "La Forêt de Grimm". Un thème rêvé pour cette saison magique. Et voici les livres que j'ai reçus :




Sans plus attendre de Kristan Higgins
aux éditions Harper Collins Poche

Il faisait partie des romans que j'avais cochés. J'aurais tout aussi bien pu cocher des classiques, des policiers, des essais, ou tout autre genre, ou rien pour être complètement surprise. Mais j'avoue que ce mois-ci je rêvais d'une lecture un peu "doudou", qui me fasse l'effet d'un téléfilm de Noël entre deux chapitres du Roland Furieux que j'étudie pour mes cours - vous voyez, je lis vraiment beaucoup de choses. Je vais le lire assez rapidement, et je vous le chroniquerai très vite. Il va sans dire que je l'ajoute à ma pile du CWC. 




Les trois dons et autres contes de magie de Jacques Cassabois
aux éditions Le Livre de Poche Jeunesse


Il s'agit d'un recueil de conte, qui, je pense est destiné à l'un des deux enfants "fictifs", que j'ai inscrits pour cette box. Je suis très contente de ce petit recueil, qui va rejoindre ma - déjà immense- bibliothèque de livres jeunesse. Et c'était parfaitement dans le thème des contes pour ce mois de décembre. 





Petites histoires zen de Dominique Tellier et Sébastien Pelon
aux éditions Milan Poche Cadet

Toujours côté jeunesse, ce petit recueil d'histoires zen racontées par Petit Lama, une sorte de moine bouddhiste rigolo, est adorable. J'adorais ces éditions lorsque j'étais enfant, et je suis contente de l'avoir reçu. J'aime bien les livres jeunesse qui font voyager, et c'est chose faite : direction le Tibet! 





Sur mon fil de Séverine Vidal et Louis Thomas
aux éditions Milan

Cet album est tout simplement magnifique. Les illustrations sont superbes. Il aborde un thème assez difficile, celui de la garde alternée, d'une manière très poétique, avec une petite fille qui tend des fils entre ses deux maisons. Je l'ai lu, il est très bien écrit, et très émouvant.  C'est une jolie manière d'expliquer les choses à un enfant qui vivrait ce genre de situation, ou dont un camarade la vivrait, et un très bel objet à avoir dans sa bibliothèque. 





Les contes de Grimm
aux éditions Atlas

Et enfin, the last but not the least, le livre sélection du mois. Un magnifique recueil de contes de Grimm, avec des illustrations un peu à l'ancienne, absolument incroyables. Ces contes ont bercé mon enfance, et je suis ravie de les retrouver dans ce bel ouvrage. La couverture est en relief, le papier est épais, c'est vraiment une belle surprise. Je sais qu'il existe également les contes d'Andersen et de Perrault, et franchement, ça donne envie de commencer une collection. Je pense que ce recueil donnera lieu à une analyse/chronique sur le thème des contes, qui est un genre que j'adore. 

En résumé, une magnifique découverte. La box fait une petite pause en janvier, mais dès février je m'y abonnerai sans aucun doute. Et n'hésitez pas à aller voir leur groupe Facebook, sur lequel d'autres personnes ont posté le contenu de leur box, car le contenu varie vraiment d'une personne à l'autre!

Cold Winter Books Saison 1 Episode 1

lundi 11 décembre 2017


Comme je vous l'avais promis, j'ai enregistré les podcasts audio qui accompagnent mon Cold Winter Challenge. Il s'agit d'un format qui permet un peu plus de fantaisie, afin de présenter ma PAL et mes impressions plus en détail. Bien évidemment ces épisodes seront complétés par des chroniques sur mon blog ! 

Vous pouvez retrouver la première émission sur mon Soundcloud



Les deux prochaines chroniques seront également diffusées en direct les dimanches 17 et 24 décembre à 16h30 sur la webradio Station Simone que vous retrouvez juste ici.


Bonne écoute! 

What Light de Jay Asher

mercredi 6 décembre 2017


Encore du Young Adult? Je vois déjà les lecteurs peu amateurs du genre bondir dans leur fauteuil et renverser sur leur clavier la moitié de leur thé aux épices - non, non, ce n'est pas un cliché c'est ça la blogosphère livresque. Blague à part, il est vrai que je chronique beaucoup de livres jeunesse / jeune adulte en ce moment. Tout d'abord, sachez que pour moi la question du livre jeunesse n'en est pas une, j'adore lire ce genre, tout comme j'aime lire des classiques ou des thrillers. Il n'y a pas, selon moi, un âge où il devient interdit d'en lire. Et puis, je définirais un bon livre jeunesse comme un livre qui peut être lu à tout moment de la vie, et procurer à chaque fois un plaisir différent : parce qu'on ne voit pas les mêmes choses, parce qu'on comprend mieux certaines références. Si j'ai lu What Light, c'est parce que je l'offre à ma nièce de quatorze ans pour Noël, une jeune fille qui a priori n'aime pas lire, et que je voudrais amener en douceur à apprécier l'univers des bouquins. J'avais envie de savoir ce qu'elle aurait entre les mains... 

Pour ceux qui aimeraient voir d'autres choses sur mon blog, ça vient très bientôt, car je compte faire une petite parenthèse au CWC pour vous présenter les livres que j'étudie cette année pour les cours. 

Résumé

Dans ce roman, on suit l'histoire de Sierra, jeune adolescente d'une quinzaine d'année, qui vit la moitié de l'année son existence de lycéenne tout à fait classique dans l'Oregon, et l'autre en Californie, dans une caravane, pour aider ses parents à vendre les sapins de Noël qu'ils font pousser durant l'année. Cet hiver là est un peu particulier, et Sierra va faire une rencontre qui va changer sa vie, à la fois sur le plan sentimental, mais aussi sur le plan humain. 


Mon avis

L'histoire comporte les ingrédients d'une romance Young Adult, de Noël qui plus est, sans pour autant tomber dans les clichés mortellement ennuyeux auxquels on pourrait s'attendre. J'ai aimé l'écriture de Jay Asher, qui est aussi l'autrice de 13 Reasons Why, que je n'ai pas lu mais vu en série - je vous en reparlerai peut-être car contre toute attente c'est un programme d'une grande qualité à mon sens. J'aime le fait que l'histoire véhicule un message, en plus de son côté léger qui convient très bien aux fêtes de Noël. Il ne faut pas oublier que le lectorat cible, les adolescents, a besoin parfois d'être rassuré par rapport à des problématiques qui lui sont propres. Ici il s'agit de la rumeur, qui peut parfois faire des ravages. Bien évidemment, je ne peux pas réellement m'identifier aux personnages, mais je les ai trouvés sensibles et bien approfondis. Il s'agit tout à fait du genre de roman que j'apprécierais que mon enfant lise à cette période de sa vie. Le genre de lecture réconfortante et douce, et porteuse de valeurs. C'est toujours dans cette optique là que j'essaie de me placer lorsque je lis un roman qui ne m'est pas destiné de prime à bord. C'est même encore mieux s'il résonne en moi, et me rappelle l'adolescente que j'étais il y a quelques années. C'est mignon, c'est bienveillant, et c'est ce qui m'a plu. 

Chronique - Le Noël enchanté de Noisette

vendredi 1 décembre 2017



Ça y est, nous sommes en décembre, et aujourd'hui débute le tant attendu Cold Winter Challenge - je vous en parle en détail ici. Si vous n'êtes pas décidé sur vos lectures pour cette hiver, qu'il reste encore un peu de place, ou encore que vous avez quelqu'un à gâter, je vous propose un album tout doux tout mignon. Il est conçu pour les touts petits, mais c'est un si bel objet qu'il saura probablement trouver sa place dans votre collection. 

Résumé

C'est l'histoire de Noisette, un petit Renard, qui se retrouve démuni quand l'hiver arrive. En effet, pendant que ses amis préparaient la saison froide, il était occupé à s'amuser. Mais c'était sans compter sur la magie de Noël...

Mon avis

L'histoire est très classique, vous pouvez très certainement retrouver une histoire similaire dans bien des albums jeunesse. Mais elle reste néanmoins poétique, et véhicule de jolies valeurs. Ce qui est encore plus séduisant, ce sont les illustrations, parsemées de touches argentées, et colorées à souhait. En tant qu'amoureuse des livres pour les petits - j'ai déjà un sacré patrimoine à transmettre - je trouve qu'il est particulièrement beau. Il y a peu de texte. Je pense qu'il peut être lu à partir de deux ans, en adaptant un peu. Les images permettront également de raconter d'autres histoires, ou de regarder les détails avec des enfants un peu plus grands. Dans le registre des livres sur le thème de Noël, je vous le conseille vivement. 

La Reine des Neiges de Hans Christian Andersen


Ça y est, le Cold Winter Challenge a commencé, et j'ai déjà eu l'occasion de lire, blottie dans mon plaid, avec les thés de mon merveilleux calendrier de l'Avent - je vous en reparlerai très prochainement. J'ai démarré cette saison de lectures dans l'ambiance glaciale de La Reine des Neiges de Hans Christian Andersen. J'avais un peu peur, car ma lecture de La Petite Sirène - alors que je ne connaissais que l'adaptation de Walt Disney - m'avait laissé un souvenir effroyable...

Résumé

Un esprit maléfique, le diable sans aucun doute, a créé un miroir horrifique, qui déforme celui qui s'y regarde, et lui reflète la laideur du monde. Quand ce miroir se brise en milliers de tout petits morceaux, certains se logent dans les yeux et le cœur des hommes. C'est ce qui arrive à Kay, un petit garçon adorable, qui a grandi avec son amie Gerda, qui devient soudain froid et irascible, et suit la Reine des Neiges dans son château, en pleine Laponie. Mais c'est sans compter sur la petite Gerda qui va traverser les saisons pour venir à son secours...

Mon avis

Le conte est un genre que j'affectionne tout particulièrement. Les histoires sont belles, et me rappellent les grands albums colorés de mon enfance, que me racontaient mes parents. Lire un conte à un enfant est un sujet controversé pour certains parents, mais personnellement, je le pense toujours aussi nécessaire à son développement, et à l'expansion de son monde imaginaire. J'aime également ses niveaux de lecture différents, en fonction de notre âge, de notre vécu, et sa portée métaphorique. Ce qui me frappe à la lecture du conte de Andersen, c'est sa modernité. Il écrit au XIXe siècle, dans un français, certes empreint du vocabulaire qui convient à cette époque, mais qui soulève une problématique universelle avec des mots universels. On traverse véritablement l'enfance avec les personnages de Kay et Gerda, tout en gardant son côté magique : les animaux qui parlent, les saisons que l'on traverse peu à peu.  Ce qui est peut être un peu déroutant, dans notre société contemporaine, c'est de voir à quel point le récit est marqué de références à la religion. On peut facilement imaginer qu'Andersen cache derrière ce conte destiné aux enfants - ce n'est pas toujours le cas mais je pense que celui-là l'est - une morale qui pourrait se résumer ainsi : il faut être pieux et bon. Mais je pense qu'il s'agit aussi de rappeler aux adultes qu'ils ont été eux aussi des enfants. Si vous le lisez, prêtez attention à la conclusion, que j'ai trouvé très belle.  En revanche, oubliez le film d'animation de Disney - que personnellement je n'aime pas tellement, bien que je sois fan habituellement - l'histoire n'a absolument rien à voir, et il n'y a de similaire que le nom.  


Je vous conseille ce joli conte, si vous voulez vous plonger dans un univers de froid, de glace et de neige, avec une histoire douce et légère comme un petit flocon. 

Je vous retrouve tout bientôt avec de nouvelles chroniques, de nouveaux articles, et mes podcasts spécial Cold Winter Challenge, où vous pourrez retrouver La Reine des Neiges

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